Comment soigné un mal ?
Par un autre mal
C’est la seule chose que j’ai trouvée
Pour me soulagé

Une lame glisse sur mon bras
Traçant sont chemin droit
Laissant une traine de sang derrière elle
Ce sang c’est ma haine

Du début à la fin de cette instant
Mon esprit se vide par mon sang
Du début à la fin de cette instant
J’oublie mes pensées pour un moment

C’est coupure, je ne peut pu m’en passé
C’est comme un manque, j’en ai besoin
Cela me fait oublé mon passé
Ma douleur je la ressent moins

Mais quand je revois
Les cicatrices sur mon bras
J’ai honte de moi
Je n’arrive pu a arrété ça

AIDEZ-MOI

 

quelle jolie veine
toute bleu toute chaude qui m’apel
se fut plu for que moi
et ma lame glissa
et tou mon sang se vida
jusqu’a se que je mouru
que j’aille en enfer ou o paradis...
...je m’en fou...

...se qui compte c’est que je ne suis plus la...

La nuit est un univers de noirceur,
Tout comme mon âme est sombre.
Le soir est un moment de pur bonheur,
C’est pour cela que mon nom est Ombre.

Mes pauvres muscles sont atrophiés,
Et mon esprit me laisse poursuivre.
Mon maudit sang coule pour me purifier,
Mon cœur me demande de ne plus vivre...

L’obscurité est l’heure de tout sacrifices.
Mon corps accepte vilement de se livrer…
La lumière veut se glisser dans l’édifice.
Mes yeux ne veulent pas me voir œuvrer.

L’arme doucement caresse ma peau,
Avant que l’aube ne vienne l’en empêcher.
L’arme déchire mon corps en lambeaux,
Avant que le soleil ne vienne tout gâcher.

La journée est un univers en couleurs,
Tout le contraire de mon vil être.
Le jour est un moment de malheur,
C’est pourquoi, je dois disparaître.

 

Chaque jours, un peu plus, je meurt...
Mais pourquoi détruis-je mon corps ?
Peut être pour faire sombrer mon coeur...
Je ne suis plus moi, j’en ai peur.

Mon regard ce détourne, il est vide.
je ne peux plus me regarde vivre
Une tête pour mes personnalités.
Un sombre visage peut me contrôler...

Ma mort fait revivre ces damnés.
Et encore je suis manipulé...
Ils hantent également mes pensées...
Mais comment m’en débarasser ?

Les souffrances, pénible chatiment...
Les lambeaux irrésistible et terrifiant,
Il reste gravé, mon sombre passé.
Je n’aurai jamais pu tous les tuer...

 

ma vie noircit
les couleur disparaisse
tou les jour un peu plus
jusqu’a se que je ne vis plus que du noir
et que j’en ai eu marre
trop de depression d’un coup
m’on mener a bout
mai je me demander quel moyen alai-je utilisé
pendu intoxiqué couper mes veine...
...rien n’en valai la peine
quan je repance que je n’ai jamai demander a vivre
je prefer mourir si c’est pour continué a souffrir
mai lorsque je pence a TOI
il m’est impossible de mourir
car JE T’AIME et tien tro a toi!!!!!!

Effleurement de la lame
goute sang qui coule en petite larme
plaisir du regard d’un rouge vivant
chaleur du touchet d’une âme réclament du sang

quelle est cette satisfaction fatale
au sentiment brulant d’avoir mal?
être bien et ne pas l’être au même temps
perdue dans l’embaras de mes sensations...

La sensations de pouvoir tout controler
Lorsque mon sang je fais couler
J’ai l’impression que ça me soulage
Mais ensuite je me perds, je fais naufrage

Lorsque je vois mon sang s’étendre
Je souris et je pleurs à la fois
J’étouffe mes sanglots pour ne pas me faire entendre
La douleur je ne la sent pas

cette vie
Qui cause tant de soucis
Elle est tellement pourris
Je ne sais plus où j’en suis
Ma baignoire se remplit
Tandit que mon coeur se détruit
Je ne peux plus rester comme je suis
Je veux m’enfuir au plus vite d’ici
Ca y est j’ai remplit ma baignoire
Je commence à y aller dans le noir
Car je ne veux surtout pas me voir
En train de me couper les veines au rasoir
Je ne savais pas que ça faisait si mal
Et je sentais mon souffle diminué
Mon sang coulait dans cette eau devenue sale
Et mon corps partit de cette vie raté!

J'erre sans but dans un cimetière
La froideur ambiante congèle la terre
Je laisse voguer mon désespoir
Telle une silhouette vide dans le noir.
Au bord de l'abîme, je sanglote
Entouré de ces tombes, mon âme flotte
J'ai rencontré la mort cette nuit
Je t'ai perdu car tu m'as fui.
Une romance coulait dans mes veines
Dans mes yeux tu étais ma reine
Indétrônable, tu m'inspirais
Tu étais mon seul intéret

c'etai pour toi

mai cette foi

c entieremen moi

c'est sur mon bra que ma lame a glisser

et que du sang a couler

et moi g adorer

sans pouvoir m'areter

mai je n'avai pa pencé

ke tu pouvai t'inkieter

san m'avoir aimer

mai je n'aretai pa de pencé a toi

ki t'inkieter tan pour moi

sans toi j'aurais deja sauter

tu m'en a empeché

si tu meurent je n'existerai plus

car c'est grace a toi que j'ai survecus...

AiDeR mOi!!!!!